Les citations du jour
Citations du jour
Citations du jour : de la connerie suprême des examens
Dans le contexte actuel de destruction de la liberté d'apprendre par le gouvernement, je publie cette citation de Léon Tolstoï et une autre de Christiane Rochefort
>Je suis convaincu par l'expérience que rien n'est plus nuisible au développement de l'enfant que les interrogations isolées et les rapports de chef à subordonné entre le maître et l'élève, et pour moi rien n'est plus révoltant qu'un spectacle pareil. (...) Les visites à l'école de Iasnaïa Poliana, qui d'un côté, ont beaucoup nui aux études, de l'autre m'ont été très utiles. Elles m'ont définitivement convaincu que la récitation des leçons et les examens sont les restes de la superstition de l'école du Moyen-âge, et sont absolument nuisibles et en contradiction avec les idées modernes. (...) Il est impossible, et pour le maître et pour l'étranger, de résumer toutes les connaissances de l'élève, de même qu'il est impossible de résumer les connaissances d'un homme en n'importe quelle branche. Si l'on menait un homme de quarante ans, intelligent, à l'examen de géographie, ce serait aussi stupide et étrange que de mener à un pareil examen un enfant de dix ans. L'un et l'autre ne peuvent que répondre par cœur et, en une heure, il est impossible d'apprécier leurs connaissances réelles. Pour connaître ce que sait chacun d'eux il faut passer avec eux des mois entiers. Là où sont introduits les examens (j'entends par là toute obligation de répondre aux questions posées), apparaît un nouvel objet, tout à fait inutile et qui exige un travail particulier, des capacité particulières, et cet objet s'appelle la préparation aux examens ou à la leçon. Un élève du lycée apprend l'histoire, les mathématiques, et, principalement, l'art de répondre aux examens. Je ne considère pas cet art comme un objet d'enseignement utile. (...) Si un étranger désire apprécier le degré de connaissance de mes élèves, qu'il vive avec nous et étudie les résultats et les applications pratiques de ce que nous savons. Il n'y a pas d'autre moyen, et tous les examens ne sont que tromperie, mensonge et font obstacle à l'enseignement. Léon Tolstoï, autour de la fin XIXème
Retrouvez en ligne notre document : « Mille citations contre l'école »
>on ne peut pas mesurer une chose qu'on modifie par sa propre présence. Ça c'est la Loi d'Indétermination, qui porte aussi le joli nom de Relation d'Incertitude, posée par Heisenberg il y a longtemps déjà mais elle a du mal à rentrer car elle gêne beaucoup de monde. Cette loi dit : l'observateur modifie l'observé. Elle dérange déjà pas mal les physiciens. Mais pour lesdites Sciences Humaines elle est une vraie catastrophe, elle leur retire carrément de sous les pieds le tapis épistémologique, c'est-à-dire qu'elle limite à quasi-zéro leur droit de connaître et d'affirmer. Car, l'observé étant humain, il est tellement modifié par son observateur que l'observation est sans valeur scientifique. Alors quand l'observateur a pouvoir sur l'observé ! Par exemple quand l'avenir entier de l'enfant testé dépend du testeur ! C'est drôle qu'on évite généralement de soulever ce petit point. Christiane Rochefort
De la justification
Étant donné que dans ce monde étrange, nous ne faisons que rencontrer des hommes justes, ou disons plutôt des hommes qui se justifient et qui y parviennent toujours magnifiquement, ça faisait bien longtemps que je voulais écrire sur « la justification ».
Mais des écrits de Bernard Charbonneau - document ci-dessous -, remplissent totalement l'office.
Le simple est inépuisable
Je dédie le texte suivant de Christian Bobin à tous ceux qui souffrent.
C'est-à-dire à tout le monde.
Citations du jour : ne pas mettre ses enfants à l'école, ça ne se fait pas !
6 Citations de Catherine Baker, dans "Les Cahiers au feu". (Pour C. Baker, comme pour certains autres, il faudrait tout recopier...) Rappel : C. Baker est l'auteur de deux ouvrages incontournables : "Insoumission à l'école obligatoire" (lien vers le livre entier) et "Les cahiers au feu".
>Qu'on lise San Antonio ou Montaigne, on a tous un jour ou l'autre eu sous les yeux une brillante attaque contre l'école dont on s'est dit que ce n'était pas mal trouvé. Sans parler des "ouvrages pour spécialistes" propres à convaincre n'importe qui des méfaits de l'instruction à la chaîne. Mais on y met ses enfants. De toute façon. Pour trois raisons. La plus importante est que le contraire ne se fait pas. Toute notre éducation nous rend terrifiante la perspective de faire autrement que tout le monde. La deuxième est qu' "on ne pourrait pas travailler si on avait les enfants dans les jambes ". La troisième : "Les enfants qui ne vont pas à l'école ne seront pas suffisamment armés pour affronter la société." Je maintiens que ceux d'entre nous qui sont passés par l'école sans dommage apparent sont suffisamment armés en effet pour être les mercenaires de cette société mais certainement pas pour l'affronter.
C. Baker
>L'école fait partie des tabous, des choses sacrée intouchables, comme l'Hygiène, l'Information, le Progrès et toutes ces terrifiantes idoles qu'on nous impose. Au sens propre, les gens refusent de s'interroger par crainte d'un au-delà. Ils acceptent tous ou presque l'idée que quelque chose leur soit supérieur et ait des droits sur eux : la Société. Extravagante crédulité de notre époque... Cette religion a ses prêtres et ses laïcs, ses autels, ses cérémonies, sa morale, ses miracles et ses damnés.
C. Baker
>Nous avons envie - que oui ! - de rencontrer des être humains, mais à condition qu'ils n'aient pas été produits en série.
C. Baker
>L'Éducation Nationale a plus de ressort qu'on ne croit et sait bien se refaire une jeunesse avec les produits de confection de l'innovation sociale. Les diplômés des "sciences de l'éducation" jouent les ferrailleurs et récupèrent ce qu'ils vont recycler. Cuisine traditionnelle (bourgeoise) ou nouvelle cuisine, on a le choix. De toute façon, la pédagogie est culinaire. Elle est l'art d'accommoder les sauces auxquelles on mangera les enfants.
C. Baker
>Il ne risque pas d'y avoir davantage de parents aimants que de véritables amants sur cette terre.
C. Baker
>Ceux qui défendent leurs enfants doivent affronter tous ceux qui défendent l'enfance.
C. Baker
Retrouvez en ligne notre document : « Mille citations contre l'école »
Citation du jour : l'école détruit les personnalités.
Et on le sait, et on le dit depuis 1900 :
>« Notre époque réclame des "personnalités", mais elle les réclamera en vain jusqu'à ce que nous fassions vivre et travailler les enfants comme des "personnalités", jusqu'à ce que nous leur permettions d'avoir leur propre volonté, de penser leurs propres pensées, d'acquérir eux-mêmes leurs propres connaissances par le travail, de se former eux-mêmes leurs propres jugements, jusqu'à ce que, en un mot, nous cessions de détruire dans les écoles la matière première des personnalités que nous espérons vainement rencontrer dans la vie. »
Ellen Key, le Siècle de l'enfant, 1900
Retrouvez en ligne notre document : « Mille citations contre l'école » (95 pages au 8/12/2015, mais n'oubliez pas qu'il ne s'agit que d'un échantillon de notre stock. Cela dit, c'est bien assez pour anéantir l'Éducation Nationale - parfois une seule phrase de Holt ou de Illich suffit amplement.)
Citation du jour : partout des traîtres.
La vraie trahison est de suivre le monde comme il va et d'employer l'esprit à le justifier. Et c'est la trahison la plus aisée, la plus répandue et la plus profitable.
>
Jean Guéhenno (merci à B. Pohl pour la citation !!)
Bref... Partout ! Des traîtres !
Citation du jour de David Olivier
S'il est peut-être vrai pour un enfant donné, allant à l'école, qu'il vaut mieux pour lui (ou plus exactement pour celui qu'il sera plus tard) être un bon élève plutôt qu'un mauvais, cela ne signifie rien d'autre que le fait qu'ayant dressé des coqs pour un combat de coqs, il vaut mieux pour chaque coq être le plus fort. Peut-on prétendre que les coqs vont au combat pour leur bien ?
>
David Olivier, cité par Yves Bonnardel dans « La domination adulte » Ed. Myriadis. Sept 2015.
Et procurez-vous le livre : « La domination adulte » auprès de votre libraire préféré, offrez-le don' à vos parents et grand-parents (à tous ceux qui sont parents, ou, "mineurs" - ça fait du monde) !
Joignez-y pourquoi pas : « Insoumission à l'école obligatoire » de Catherine Baker ou « Les enfants d'abord » de Christiane Rochefort (d'occasion) ou d'autres livres/documents de notre bibliographie Déscolarisation.
La guerre arrive, la guerre est là ?!
N'est-ce pas logique, normal et attendu puisque qu'elle était là pour nos aïeux et nos grand-parents ?! Avons-nous seulement changé de comportement et de direction (et de régime !) ?!!!! Non ! Nous avons bêtement reproduit. Nous nous sommes reproduits et nous avons reproduit ! Les filles sont devenues mères, les fils sont devenus pères, les élèves sont devenus profs, et ainsi de suite, au lieu de transmuter, de père-muter, nous avons recommencé un cycle de conneries ! Nous ne sommes jamais devenus adultes, nous sommes simplement passés de l'autre côté du miroir pour embrasser l’ersatz de vie qu'on nous a fait miroiter quand on était "petit". Nous sommes devenus des non-enfants (pas des adultes), autorisés à dominer à leur tour des enfants. Nous ne sommes pas devenus autonomes, nous sommes restés des enfants vis-à-vis de l'État et de l'ordre établi. Alors, pour compenser, comme nos aïeux, nous régnons atrocement sur les plus petits que nous, ou sur quelconque "inférieur", à la moindre opportunité. « Il faut, pour respecter la vie en autrui quand on a dû se mutiler soi-même de toute aspiration à vivre, un effort de générosité à briser le cœur.» Simone Weil - « Il est plus aisé de se comparer, d'établir l'échange social comme ce troc de la gloire et du mépris où chacun reçoit une supériorité en contrepartie de l'infériorité qu'il confesse » J. Rancière.
Nous avons simplement pris notre ticket dans le grand manège de la perpétuation des violences. Le processus est toujours le même : nous refoulons les violences subies et nous les reproduisons à l'identique (à cause notamment du refoulement).
Et la guerre revient... ????! Mince alors ! Comme de par hasard... ! putain mais qu'on est con...
Sylvain
Christian Bobin et « l'heure de la main vide »
Ce très très cher Bobin a écrit, l'air de rien, dans l'ensemble de son oeuvre, quelques propos bien cinglants contre le système scolaire ou bien des passages poétiques sur un rapport libre aux apprentissages. J'en ai introduit un premier dans le module en haut à droite de ce site :
Ce qui me paraît le plus insupportable, c'est que l'école me séparait de moi-même. Christian Bobin
>
Mais je voulais ce soir, surtout partager ce propos divin de Bobin (pas directement lié à la déscolarisation, mais chacun fera les liens qu'il souhaite) :
Trois mots donnent la fièvre. Trois mots vous clouent au lit : changer de vie. Cela est le but. Il est clair, simple. Le chemin qui mène au but, on ne le voit pas. La maladie c'est l'absence de chemin, l'incertitude des voies. On n'est pas devant une question, on est à l'intérieur. On est soi-même la question. Une vie neuve, c'est ce que l'on voudrait mais la volonté, faisant partie de la vie ancienne, n'a aucune force. On est comme ces enfants qui tendent une bille dans leur main gauche et ne lâchent prise qu'en s'étant assurés d'une monnaie d'échange dans leur main droite : on voudrait bien d'une vie nouvelle mais sans perdre la vie ancienne. Ne pas connaître l'instant du passage, l'heure de la main vide.
>
Profitons de l'occasion de ce billet, pour signaler la parution mi-octobre d'un nouveau livre de Bobin, qui s'annonce brûlant... : Noireclaire.
Citation du jour : l'attention
>Le reproche de distraction, par exemple des professeurs vis-à-vis des élèves qui seraient trop dissipés, ne cache pas un défaut de concentration, mais un manque de concentration vis-à-vis de ce à quoi ces enseignants voudraient que les élèves en question soient attentifs. Ce qu’on appelle distraction est souvent une attention rebelle, indisciplinée. Accuser l’autre d’être distrait, c’est une façon d’imposer son pouvoir dès lors que celui-ci est menacé, et donc au final tenter d’imposer une redistribution de l’attention en sa faveur.
Yves Citton, citation proposée par Etienne Chouard, intégrée à nos « 1000 citations contre l'école».
Citation du jour : le génome de l'école de Jules Ferry
>Centenaire ! L'instruction publique et obligatoire a aujourd'hui cent ans (ndlr : on est en 1979), un bel âge pour mourir. Les adultes parlent du droit à l'instruction obligatoire ! Décidément, la grammaire est un flic. Ce « droit obligatoire » n'est pas un hasard monstrueux du langage, il dit bien la vérité de l'école. Le droit pour la façade et les justifications, parce que Jules Ferry et les autres étaient des bourgeois éclairés, démocrates et modernes. Obligatoire, parce qu'il s'agissait en fait de rendre les enfants de la classe ouvrière utilisables pour le système industriel en mutation. L'école est avant tout et dès le début, un lieu de concentration, d'instruction civile et morale. Elle n'est pas née du cerveau tordu d'un bienfaiteur de l'humanité, elle a été rendue nécessaire par le développement de la société. Qu'il existe encore des enseignants, sincèrement persuadés qu'en emmerdant avec conscience des milliers d'élèves, ils les mènent sur les sentiers fleuris de la démocratie, n'y change rien.
Claude Guillon et Yves Le Bonniec, extrait de « Ni vieux ni maîtres » de notre bibliographie déscolarisation et de nos « 1000 citations contre l'école».
2 citations du jour, extraites de "A nos amis".
« L'organisation étatique est en fait la désorganisation maximale, parce qu'elle repose sur la négation de la faculté humaine de s'organiser. »
« L’État est la mafia qui a vaincu toutes les autres, et qui a gagné en retour le droit de les traiter comme criminelles. »
A nos amis, Comité Invisible.
Merci de participer à la Déscolarisation de la société, elle ne pourra pas se faire sans vous, sans chacun de vous.
Pas de gourous, pas d'organisation au sens politicien du mot en matière de déscolarisation, pas de "SPECTACLE", mais une organisation au sens de la Commune qui peut donc jaillir partout grâce au courage de chacun à se départir de l'État et de ses structures, et à édifier avec ses "Amis" un espace commun autonome où l'État n'est plus, où l'État ne peut plus être, car il a face à lui : LA COMMUNE.
L'autonomie individuelle, okay. Retrouver sa "pleine conscience", okay... Méditer, se centrer, okay, si vous voulez...
!! Mais si personne n’œuvre en parallèle pour l'autonomie collective... Mais si, chacun, continue d'éviter à tout prix le même petit point rouge qui clignote sur la carte... (Ben, ça ne peut pas évoluer) !!
C'est fou, cette ingéniosité quotidienne déployée par chacun de nous, en excuses de toutes sortes, pour éviter à tout prix le no-mans land entouré de ru-balise qui correspond à "la politique". (Et la panique hystérique qui apparaît quand on se rapproche de la zone...)
Chacun se dit : je veux bien tout faire pour changer mais sauf ça ! Oui, même des toilettes sèches aller pourquoi pas !! Mais PAS, La Politique ! Ça, ce n'est pas pour moi, je ne suis pas fait pour ça ! D'autres le sont, mais pas moi, et je le ferai peut-être quand j'aurai fini de m'occuper de moi (!) . Et chacun semble persuadé que d'autres s'en occuperont... (Pendant ce temps, c'est la mafia qui s'occupe de nous... éternellement...).
Étrange démission individuelle et collective... Enfin, Étrange,... les gens restent donc bien "scolarisés", c'est-à-dire qu'ils veulent toujours ménager in fine leurs positions sociales : = NE JAMAIS SE FAIRE MAL VOIR PAR LE PROF, PAR PAPA, PAR L'ÉTAT, PAR LES CHEFS. Ça reste la règle car rien n'a commencé en matière de déscolarisation et de révolution.
C'est pour ça que nos jours on se planque derrière un écran pour consommer de la pensée subversive le soir "en rentrant du boulot". La plupart des individus ont deux visages : celui conforme à l'État, à Papa, au Prof (tout ça, c'est pareil, c'est le SURMOI), et celui "sur internet" quand le prof/Papa/l'État a le dos tourné.
L'humanité bougera quand les gens se décideront individuellement à n'avoir plus qu'un seul vrai visage.
Rien n'a commencé. La Révolution, ça commence quand L'INDIVIDU, oui TOI, seul, défie et menace l'État, ne veut plus d'État en son for-intérieur et pose des actes par rapport à ça. Ça commence quand L'INDIVIDU pense qu'il a plus à perdre de continuer à se taire que l'inverse (et même si les autres continuent, eux, de se taire). Ça commence quand L'INDIVIDU et donc CHACUN (DONC TOI !!) préfère tout perdre que de perdre son âme et que de voir le monde la perdre.
L'État n'est à l'Élysée. Il est partout. Ses agents, aussi, souvent vous en êtes, ou bien "si ce n'est toi, c'est donc ton frère".
Il n'y a qu'un seul espace commun : la Commune, qui se décline, partout et qui se fédère. Mais la place est prise ! Par cette mafia qu'on nomme État. Œuvrer pour l'autonomie collective, c'est donc abattre l'État au profit de La Commune. Ça se fera pas avec Pierre Rabhi, Michel Onfray et je ne sais quel gourou plus autorisé que les autres à parler. Ça commencera quand CHACUN, en présenciel, se mettra à parler, là où il ne devrait pas parler, quand il ne devrait pas parler etc.
Aider la déscolarisation de la Société, c'est instituer une école libre, communale, et égalitaire à côté de chez vous dans les lieux publics couverts et chauffés (et vider en parallèle les écoles de l'Éducation Nationale).
Si vous le faites, votre action, par une sorte d'égrégore bien réel donnera de l'énergie aux "Communes" voisines et lointaines.
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