Terre et Permaculture
L'hétéroalimentation
Et si nous arrêtions de se faire nourrir par les autres ?
Bien-sûr qu'il fallait un mot pour désigner ce grand mal qui, comme tous les grands maux qui nous rongent, peut se trimballer des siècles avec une cap d'invisibilité si on ne fait rien. En le nommant, je le débusque, je le révèle, je le démasque, je dévoile ce qui était voilé. Quoi, vous avez peur de l'inconnu ?
L'hétéroalimentation est sûrement le fait humain le plus dingue qui soit. La totalité du vivant se soucie de s'autoalimenter depuis la nuit des temps. Mais l'homme actuel n'a pas de problème particulier avec le fait de ne pas s'occuper de sa nourriture (ou comment on peut passer de la chose la moins normale du monde à la plus normale). Il vaque à d'autres activités et quand il a faim, va à la cantine, au restaurant, ou bien va "faire ses courses" selon l'expression consacrée. Et donc, à la cantine ou dans le magasin, (ou au marché), il trouve de quoi manger. De la nourriture qui a été cueillie, préparée, lavée, assemblée, séchée, pêchée, tuée, par d'autres que lui et cela est NORMAL, MORAL, ça ne choque plus personne. La chose la plus choquante du monde ne choque plus personne... Ces autres qui ont préparé sa nourriture sont des personnes qu'il ne connaît pas dans la majorité des cas. Mais connaître la personne qui a cultivé la salade ne change rien bien-sûr à la magistrale question que pose l'hétéroalimentation.
Mais y'a t-il quelque chose de mieux à faire que de prendre soin de soi et de la terre, et donc de s'insérer totalement dans les cycles, de tuer sa propre nourriture, mais aussi de la gérer de la graine à la graine, de l’œuf à l’œuf ?
Gilets Jaunes : Réclamer plus d'argent ou plus de moyens pour réduire sa dépendance à l'argent ?
Voici deux catégories de revendications Gilet-jaunées qui peuvent soit s'additionner, soit s'opposer, mais il est clair qu'il faudrait privilégier la deuxième et c'est malheureusement la moins courante pour le moment.
Mais revenons à nos moutons : la révolution des Gilets Jaunes doit être une révolution du sol, une révolution agraire : une autre répartition des terres doit naître de ce mouvement et un exode urbain massif doit apparaître. C'est la réponse la plus appropriée à la fois à l'urgence sociale et à l'urgence écologique. Les villes sont des prisons stériles et nocive où l'on vit mal. L'esclave moderne est un prolétaire qui habite la ville, qui est entièrement dépendant des flux de marchandises pour le moindre de ses besoins et qui consomme 8 hectares de terre sans jamais en voir ni en toucher. L'esclave moderne, oui, est totalement dépendant à l'argent. En s'installant sur une terre arable, l'esclave peut se libérer, car il peut trouver directement dans son milieu mille et une choses qu'il n'a plus besoin d'acheter (et marchandise qui ne doit plus faire des milliers de km). Même encore de nos jours, malgré la destruction des écosystèmes, l'abondance est à portée de main si on veut bien aller la chercher mais on a oublié combien la nature peut nous fournir tout ce dont nous avons besoin. On croit souvent à tort aujourd'hui que la nature peut nous offrir une petite dizaine de trucs comme du bois, des possibilités pour le maraîchage, quelques mûres et quelques châtaignes, et pour mettre des fleurs dans les vases, or, c'est infiniment plus que ça, puisque tout ce qu'il y a sur les rayons de votre supermarché vient de la nature et ne peut venir de nulle-part d'autre (c'est une lapalissade en or). Il y a tout dans la nature.
Chaque gilet jaune doit exiger de la terre au lieu (ou en plus) d'exiger de l'argent. Ou bien alors exiger de l'argent pour acheter de la terre et des arbres fruitiers. Pas plus tard qu'hier soir, j'ai ramassé pour au moins 200 euros de Kakis dans un seul arbre... Alors, faut-il exiger 200 euros qui partiront en fumée dans la poche des capitalistes ou bien de la terre et des plaqueminiers qui seront pérennes pour nous et nos enfants ??!
En parallèle de tout ça, je pense qu'il faudrait développer un vaste plan d'enseignement populaire, mutuel, et gratuit de la permaculture pour que chaque Gilet-Jaune ré-apprenne tous les bons gestes et savoirs ancestraux pour tirer ses besoins de la nature tout en aggradant son milieu.
La Mairie de La Table dit NON à un projet de verger communal porté par la population
La période idéale de plantations d'arbres s'étale de novembre à mars, c'est pourquoi nous avons initié un projet de plantations d'arbres sur terrains communaux autour du mois d'octobre 2017. Un collectif d'habitants a porté un projet de verger communal et tout au long d'une série de demandes et de conseils municipaux, s'est vu opposé ce petit mot : NON. Non à la Vie, non à l'Amitié, non au Soin.
Voici, en lecture, ci-dessous, ma réponse de 7 pages à la Mairie de La Table.
Février, les starting-blocks

A l'heure actuelle, les gens n'ont avec eux, ni Hestia, ni Hermès. Pas de foyer véritable, pas de centre permanent, pas d'habitat où l'homme s'occupe de lui-même et se maintient (voir tout ce que j'ai publié sur "l'habitat libre"). Quant à Hermès, le pauvre il a été tué par l'esprit de censure et de clôture (par la fausse démocratie et « la société du spectacle»), et par "Internet" et la disruption.
Comment ça plus personne ne le fait et l'agriculture est devenue industrielle et c'est ça qui flingue tout ?!
Et l'habitat sur la ZAD, ET AILLEURS ?!
Je vous renvoie vers le magnifique livre de mon ami Ivan Illich : « L'art d'habiter », pour simplement constater avec Ivan que nous avons étrangement perdu en chemin ce trait caractéristique et fondamental de l'espèce humaine (...mais bon comme nous avons TOUT perdu...). C'est un des constats les plus puissants que j'ai fait ces dernières années : les gens n'habitent plus.
Concernant les expulsions politiques (et militaires !) de ceux qui cherchent à retrouver l'art d'habiter, Illich nous offre cette terrible analyse : (Est-ce que c'est ce qui attend finalement les Zadistes ?! Ou bien allons-nous enfin nous réveiller sur ce sujet ?)
Le sujet de l'habitat, vraiment trop peu abordé est pourtant fondamental, en lui-même, mais aussi métaphoriquement. En effet, le vieux monde que nous voulons voir finir est comme un immense édifice (non vernaculaire donc, qui s'impose à nous), et nôtre tâche est de le faire disparaître sans le faire exploser directement sans quoi il nous tomberait dessus et nous tuerait. Cela consiste pour chacun de nous (et ensemble) à retirer brique après brique, patiemment mais sûrement. Les briques du vieux monde existent très logiquement les unes par rapport aux autres, et on est souvent obligé pour retirer telle ou telle d'en avoir préalablement retirées certaines autres.
Voyez-vous à quel point cette métaphore se superpose parfaitement à notre situation réelle en terme d'habitat ? Nous n'habitons pas, nous sommes des "logés", hétéronomes, dans des édifices, non respirant, malsains, pollués, non vernaculaires, qui nous enserrent, et nous font vivre une pression d'Enfer, insoutenable, INDIGNE.
Soit nous sommes "LOCATAIRES" avec la pression financière délirante du loyer à payer et avec cette relation si exquise, si DIABOLIQUE, avec "le propriétaire" ; tout ça, c'est UN ENFER.
Soit nous sommes PROPRIÉTAIRES et nous payons un loyer à la banque. La pression est la même. Nous sommes dans tous les cas en conséquence des esclaves du travail-des propriétaires et/ou des banques.
Et en plus, — et c'est bien le pire du pire qui devrait nous faire péter les plombs — , nous n'habitons pas (relire Illich ci-dessus).
De plus, ces mauvaises conditions initiales ne permettront pas une bonne articulation de l'individuel et du collectif, tout aussi fondamentale.
Et de cette situation initiale délétère découle des mauvais rapports humains (des conflits perpétuels) qui ne devraient pas nous étonner — ils sont une conséquence, un symptôme, il faut traiter la cause, qui est le mode d'habitat — .
Tout ça me fait penser aussi à la description de Giono au début du texte « l'homme qui plantait des arbres » :
Notre vrai besoin à tous, CHACUN, c'est HA-BI-TER ! et habiter pour articuler l'individuel et le collectif et en articulant l'individuel et le collectif.
Et c'est d'avoir DE L'ESPACE ! DE L'AIR !!! Saint-Ex disait dans Citadelle cette chose très vraie : « le vice n'est que puissance sans emploi ». J'ajouterais la paraphrase suivante : le vice est aussi puissance sans espace.
Je vous renvoie aussi à mes autres articles : « Tuer l'idéologie pavillonnaire et l'idéologie de la maison bourgeoise » et « Ce qu'il faut de terre à l'homme ».
A l'heure actuelle (l'heure de la barbarie intégrale), une solution viable et assez miraculeuse existe dans l'habitat à ossature-bois, mur en paille et mortier, sur terrain agricole, déclaré en abris de jardin. On a tous appris des quantités de choses complexes et inutiles à « L'Éducation Gouvernementale ». Construire une petite maison de ce type est simplissime, à côté d'une infinité d'autres choses que nous faisons et que nous avons appris à faire (en étant FORCÉ en plus et à contre cœur).
N'est-ce pas le plus beau des travaux, qui se fait exactement à l'inverse d'un contre cœur, que d'AUTOCONSTRUIRE SA PETITE MAISON ?
Pourquoi on nous bourre le mou avec l'idéologie du travail, si ce n'est même pas pour réaliser le premier des travaux de l'homme, depuis que l'homme est sur la terre: HA-BI-TER (et se nourrir par ses propres moyens !).
Pourquoi ne pas habiter cette vie comme il se doit, comme le créateur la voulue ?
Pourquoi être esclave toute sa vie ?
Pourquoi continuer ces vies de dingues, où nous travaillons comme des dingues, simplement pour être logés dans des cages ?
Comment se fait-il que nous ne parvenons pas à nous focaliser collectivement sur ce point ABSURDE et gorgé de mal jusqu'à la lie ?! Comment se fait-il qu'un PEUPLE accepte cet état de chose scandaleux au dernier degré ?! Comment se fait qu'individuellement et collectivement nous acceptons que nos vies soient offertes aux banques et aux capitalistes uniquement par le truchement de lois absurdes qui empêchent de vivre ?
Quiconque quitte les boulevards du fric et la loi de l'argent pour chercher la vie fera le même parcours concernant l'habitat. Les notions rencontrées au travers des lois seront toujours les mêmes : terrain agricole ou naturel, abri de jardin, « abri de moins de 20² », « abri moins de 5m²», « En tant qu'agriculteur », « Qu'a-t-on le droit de faire sur un terrain non-constructible ? », caravane, roulotte, camion, yourte, tipis, pilotis, "flottant", prérogatives du maire, ...
Nous sommes des centaines de milliers, chercheurs de vie, à manipuler constamment ces notions dans tous les sens, à la recherche de LA solution, de LA bonne stratégie, alors qu'il n'y en a pourtant aucune. Car s'il y en avait une, tous les chercheurs de vie s'y seraient engouffrés depuis longtemps et tout le monde aurait fini par suivre. Pourquoi se refuser ce constat mortel ? Parce que ça fait trop mal au cœur ?
Concernant l'habitat, toutes les lois concourent JUSQU’À L'ABSURDE COMPLET, à ce que nous soyons tous radicalement INTERDITS DE VIVRE.
Si nous pouvions vivre, si nous pouvions quitter la loi de l'argent, s'il y avait une seule solution LÉGALE viable : tout le monde s'y engouffrerait, et ça ferait comme je le disais : un trou dans la bulle d'air, irrécupérable pour la loi de l'argent et des banques.
Et puis pourquoi faisons-nous à ce point-là les niais et les naïfs ? Nous savons bien que depuis des lustres, d'autres, avant nous, ont essayé de faire apparaître des trous et que c'est justement leurs actes qui ont permis, pour les gouvernements, de mettre au point de nouvelles lois afin de créer les nouvelles impasses nécessaires au maintien de la loi de l'argent.
A chaque nouveau commencement de trou vers le chemin de vie, en réaction, une nouvelle lois vient y mettre un terme instantanément.
Tant que les individus n'auront pas le courage de brandir sans faiblir, sans fléchir, cette certitude que nous sommes radicalement interdits de vivre, et que nous vivons dans la pire dictature qui soit depuis la nuit des temps, rien de bougera d'un iota. Car ce système vit de notre tendance à nous satisfaire de l'illusion de vie. Tant que nous ne serons pas un nombre substantiel-critique à affirmer que la vie est autre chose que l'état de chose actuel, rien de bougera. Tant que nous nous satisferons, même bon an mal an, de l'état de chose, rien ne bougera. Tant qu'il n'existera pas en chacun de nous un incommensurable NON, PERMANENT, rien ne bougera.
Rien ne bougera : la réalité restera opposée à la vie et à l'amour.
La réalité restera la matérialisation constante de la loi de l'argent. Nous continuerons de vivre en Enfer.
« Impossible éco-fuite » par Nicolas Casaux

« Tout cela pour dire, en paraphrasant Thoreau, qu’il existe un millier de manières d’avoir l’impression de s’attaquer aux branches du mal (qui ne font parfois que stimuler leur croissance), contre une seule manière de s’attaquer à ses racines.
Que pour l’instant, le mouvement de résistance organisé capable de s’attaquer à ces racines, de frapper où ça fait mal pour paralyser ou mettre hors d’état de nuire la machine industrielle à consumer des combustibles fossiles, à émettre du CO2, à réchauffer l’atmosphère, à la saturer de particules toxiques, à vider les océans, à les remplir de plastiques et à les acidifier, à raser les forêts, à les remplacer par des villes, des monocultures et des routes, à perforer les sols pour en extraire des « ressources minières », etc., n’est pas en vue.
Et qu’il incombe, à ceux qui le comprennent, de faire ce qu’ils peuvent pour participer à la création d’une telle résistance. »
PS : en prime, vous trouverez dans cet article une citation de la maman de mano solo... ;-)
Où est l'amitié permaculturelle ? (résiduelle)
Où est, avant toutes autres choses, l'amitié permaculturelle ? (base incontournable et incompressible de toute permaculture digne de ce nom)
La première cause en est l'absence d'espaces communs. Le communal, par définition toujours ouvert et autogéré, sous toutes ses formes (salles diverses, jardins, théâtres,...) est ce qui permet d'obtenir dans une cité un état résiduel de l'amitié. De cette manière, les braises de l'amitié sont toujours là, et il y a juste à souffler dessus légèrement pour que ça reparte. Si un communal accueille en heure de pointe plus de cent personnes, il restera toujours quelques-uns même aux heures les moins fréquentées. Dans ce genre de situation d'amitié "permaculturelle", pour quiconque veut ajouter du bois au feu de l'amitié, les choses sont simples, directes, voulues et attendues. On rend immédiatement grâce à celui qui souffle sur les braises et ajoute du bois puisque c'est précisément pour ça qu'on maintient toujours des braises à cet endroit.
J'ai pris l'exemple d'un communal, mais on pourrait penser à des centaines de situations de maintien d'une amitié résiduelle (permaculturelle).
Cette idéologie du "projet" nous dit aussi que l'amitié ne peut plus exister de façon résiduelle et gratuite afin justement qu'elle existe uniquement sous forme de projets-produits. Afin de vendre aux gens une nouvelle séquence d'amitié frelatée, il faut pour cela tout arracher à chaque fois, tout consommer et terminer le projet-produit. Et en guise de travail de fond, il faut arracher toutes possibilités d'amitié libre et spontanée qui reposeraient sur des dispositifs pérennes d'amitié permaculturelle.
Vous vivez dans un monde où le feu de l'amitié est sans cesse allumé puis brutalement éteint, où l'arbre de l'amitié est sans cesse planté, puis immédiatement arraché et décimé... On n'a pas le temps de l'aider à pousser, de l'arroser, de mettre du fumier, de le voir grandir, non, il faut en planter un autre (qu'on arrachera), puis encore un autre (qu'on arrachera aussi), puis encore un autre et ainsi de suite. Tout ça parce que chaque arrachage et nouvelle plantation est favorable à la circulation monétaire. Vous vivez dans un monde où le maître est l'argent lequel intime constamment d'arracher pour replanter. Et vous voudriez vous sentir bien, enthousiaste ?
Là aussi, tout a été fait pour que nous vivions l'amitié sous forme d'une succession de courts fleurissements et d'arrachages immédiats à partir desquels il faut toujours tout recommencer à chaque fois.
Pour illustrer cela, je vais partir d'un type de situation extrêmement banale que nous avons tous vécue des milliers de fois : le moment où tout retombe (— à zéro —) après une courte période d'extase amicale. Il peut s'agir d'une soirée, d'une semaine ou même de trois semaines vécues dans l'amitié, le partage et la joie (ou pourquoi pas des polémiques aussi). Il y aura toujours ce moment, qui finit toujours par arriver, où tout va brutalement retomber, où vous vous retrouverez tout seul, où toute l'amitié et la joie seront en cendres froides et où il vous faudra tout reprendre de zéro pour espérer revivre ce genre de chose. Si vous m'avez bien suivi jusqu'ici, je ne critique pas l'existence d'une gradation dans le phénomène, je dénonce ( — et le mot est faible —), l'absence d'état résiduel de l'amitié. Je dénonce que nous ayons tous à passer par le néant avant de revivre un soupçon d'amitié, et que nous devions sans cesse tout reprendre à zéro la concernant.
Les téléphones et Internet ont fait un tort énorme à l'amitié résiduelle et permaculturelle. Avant, on savait que l'ami pouvait débarquer à tout moment et à l'échelon de la cité toute entière, cela créait un fluide d'amitié résiduelle globale. Mais maintenant, qui appelle qui ? Est-ce que j'ose l'appeler pour qu'on se voit ? Chez qui ? Chez lui ? Chez moi ? Est-ce que j'appelle cet autre pour qu'il soit là aussi ? Et puis, une fois qu'on se sera vu, qu'on aura « bu un coup » (voir mon article : "on boit un coup?"), eh bien ça sera fini, consommé, il faudra tout recommencer de zéro, reprendre son téléphone : « j'appelle qui ? J'aimerais bien qu'on m'appelle. ». On pense peut-être qu'être dans ce genre d'état est normal. Eh bien non ! C'est un état morbide. Il existe d'autres formes possible de « société » qui en porte vraiment le nom, et qui conservent à chaque instant du temps une amitié résiduelle sur laquelle il y a juste à sauter si le cœur nous en dit.
Alors, avant de parler de la permaculture concernant les plantes ou autres, ça serait bien de se consacrer à la première de toutes les permacultures, celle de l'amitié permanente : cette permaculture où l'on arrache pas les cœurs à tout bout de champ.
Sylvain Rochex — 24 novembre 2017
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Pour la page « la Libre Entente » proposée par Valentin (Exception momentanée à l'usage de Facebook pour présenter tous les lieux de libre entente antisystème et les possibilités d'en mettre sur pied plein d'autres),
Voici un ensemble de photos pour l'Adrey :
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